punition
de Nina
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Avant-hier,
Nina a compilé les erreurs et m'a mis en colère. Tout d'abord,
il me téléphone pour savoir si il peut venir dans l'heure...
Or, il sait que je n'aime pas çà, hé oui, j'ai aussi
une vie personnelle, et il ne suffit pas de prendre un ticket comme à
la sécu pour être reçu! Comme c'est un soumis que j'apprécie,
j'accepte exceptionnellement de le voir, lui demandant d'arriver dans les
30 minutes car il est tard. Que nenni!! Il arrive presque une heure plus
tard, alors qu'il est à 10 minutes de chez moi. De plus, il doit
ressortir, car il n'a pas le nécessaire avec lui!! Pour couronner
le tout, il arbore un sourire béat malgré mes remontrances.
Bien, il sait au moins pourquoi il va être sévèrement
puni ce soir. Tout d'abord, je l'habille. Corset très serré,
plus que d'ordinaire, des bas, maquillé, perruqué, devenant
Nina. Il se regarde dans le miroir, s'admirant, trouvant le résultat
encore plus beau que la dernière fois, se demandant si il plairait
en sortant ainsi. Le tout avec toujours ce sourire idiot qui m'énerve
encore plus. Il s'est à peine excusé et va me payer tout
çà très cher. A peine sur les genoux, les claques
pleuvent sur ses fesses. Je ne m'arrête que pour commencer à
le sodomiser. Puis, c'est le martinet, plus fort que d'habitude. Il sait
que je suis en colère, aussi, il ne dit rien, continuant à
se mirrer dans le miroir. Passons à un gode plus gros et vibrant.
Il le gardera le temps de la cravache, puis de la canne. Ses fesses sont
maintenant de la même couleur que le corset, c'est à dire
bordeaux. Tout ceci me calme un peu, et je le deshabille afin de le trainer
dans la salle de bain. Il reçoit alors une vraie douche, car avant
même qu'il arrive j'avais envie d'aller aux toilettes, et vu son
retard, c'est encore pire. Il en reçoit partout, et baigne littéralement
dedans. Là, je me décontracte en le regardant dans le fond
de la baignoire, s'évertuant à se masturber, lui expliquant
que si il n'arrive à rien, il ne pourra pas se doucher, et repartira
donc dans cet état. Le résultat ne se fait pas attendre.
Avant qu'il ne parte, je lui répète mes consignes, afin que
la prochaine fois, il ne prenne pas ses aises de la sorte. Je peux tolérer
éventuellement une fois, mais en aucun cas deux. |