Maitre
et sa soumise
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Ainsi
que je l'ai déjà expliqué, il est rarissime que j'accepte
les couples, surtout lorsque monsieur "amène" madame, pour de nombreuses
raisons. Déjà, il est fréquent que madame ne vienne
que pour faire plaisir à son cher et tendre. Ou encore, monsieur
intervient à tort et à travers, et je ne suis plus que la
main qui tient le manche, et qui execute pour lui ce qu'il ne sait ou n'ose
pas faire, je suis l'"excuse". Ou bien, monsieur veut à un moment
remplacer le gode par son instrument perso, et je ne suis pas une chambre
d'hôtel. Enfin, je ne suis pas lesbienne, et souvent madame veut
une gâterie qui m'écoeure totalement et qu'il est hors de
question que je pratique. De plus, et çà, c'est personnel,
le contact de la peau d'une femme ne me plait pas du tout. Tout çà
pour dire que lorsqu'un couple me téléphone, je m'acharne
à répéter que je ne pratique QUE de la domination,
mais les quelques essais se sont révélés navrants,
aussi; j'évite!! Là, je tombe au téléphone
sur un homme ne parlant qu'anglais, m'expliquant que, de passage à
paris, il aimerait me confier sa femme, qu'au demeurant il a l'habitude
de dominer, ou de faire dominer (par des femmes uniquement, pas de concurence
me dit-il!!). Je suis un peu hésitante, mais ayant toujours de bonnes
surprises avec les anglos-saxons, je décide tout de même d'accepter.
Il faut encourager les touristes!! Il a la cinquantaine, sa femme et soumise
la quarantaine, bon niveau social, agréables dans leur façon
d'être et leur comportement. J'autorise monsieur à faire des
photos durant la séance, et lui m'explique ce qu'il pratique sur
elle. Pendant ce temps, elle se met nue, et attend tête basse. C'est
un bon début car je me rend de suite compte que je n'ai pas affaire
à des débutants. Je l'attache au palan, lui met des pinces
aux seins, et commence par la fesser. Je lui écarte les jambes avec
une barre, la plus grande, et continue au martinet. Je lui met un bandeau
sur les yeux, et la met sur les genoux. Un peu de cire, un autre martinet,
et je lui pose un plug. Elle est très docile, ne se plaint pas,
et supporte bien. Je l'installe ensuite dans mon carcan double, mains et
pieds, elle se retrouve ainsi les fesses bien relevées, et je continue
la sodomie. J'utilise ensuite un gode double (pour une fois que j'en ai
usage!!), monsieur n'en perdant pas une miette et faisant des photos. A
aucun moment il ne s'interpose, me laissant faire en fumant son cigare.
Nous en venons à la cravache, et aux pinces sur le sexe. Lors de
la pose, elle a un petit sursaut, mais ne dit toujours rien. Je la retourne
sur le dos, allongée, les pieds suspendus au palan, que je soulève
progressivement. Les mains attachées dans le dos, elle ne peut que
subir, étant les jambes écartées par la barre et suspendue
au plafond. J'ajoute un baillon, et je retire les pinces de ses seins.
Elle gémit un peu, mais toujours pas de braillements en vue. Je
lui cravache l'entrejambe, les seins qui restent très sensibles,
et lui met un gode vibrant. De cette façon, les choses se feront
tranquillement pendant que je garde mes mains libres pour tirer sur les
pinces qu'elle a toujours au sexe. Pour une fois, tout aura été
impeccable, le comportement du mari, de la soumise, et ils sont ravis pour
leur premier essai d'une dominatrice à Paris. Ils viennent du Brésil,
et ils pratiquent régulièrement là-bas. Alors la question
est: les couples français ne peuvent-ils pas être aussi respectueux
et agréables que les étrangers?? Continueront-ils à
mélanger domination et cul? Le Donjon et l'hôtel? Dommage
et tant pis pour eux... |