l'humiliation
ultime
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Il me
proposait le fantasme suivant: arriver chez moi, en s'étant mis
juste avant un microlax (lavement pour les néophytes), une couche
au cas où, et je le présentais à une amie dans le
salon. Il nous servait selon notre bon vouloir, et bien sur je lui interdisais
d'aller aux toilettes. Jusqu'au moment où....... il ne pouvait se
retenir. Il sait que je ne supporte pas la scato, ni mon amie, aussi, afin
de ne pas nous froisser, cette opération pouvait se faire au moment
où il partait. Mais je lui ai réservé une surprise.
En arrivant, je le fais se deshabiller, puis je le présente à
mon amie. Je lui raconte brièvement les fuites de mon soumis, lui
étant tête basse, pas très fier d'être en caleçon
au milieu du salon. Afin d'amuser mon amie, je le fais aller en vitesse
à la salle de bain, et lui montre ce que je vais faire. Je change
l'embout de la douche afin d'en faire un bel instrument de lavement. Mon
soumis ouvre des yeux paniqués, car ce n'était pas prévu,
il a peur, et ne veut pas aller dans la baignoire. Mon amie bloque la porte
et je le pousse dedans, le penche en avnt et lui ouvre les fesses. Je laisse
couler l'eau pendant 10 bonnes secondes. Là, je lui conseille d'aller
mettre sa couche, car bien sur je ne supporterai en aucun cas une fuite
quelconque. Retour au salon, et là, à genoux et transpirant
à grosses gouttes, il doit nous masser les pieds. D'abord mon amie,
il a l'air de bien se retenir, aussi avant qu'il ne me masse mes pieds,
je le fais aller dans le donjon, et je lui enfile un microlax en plus du
lavement précédemment fait. Le retour dans le salon est de
suite plus hésitant. Il commence à être trempé
des pieds à la tête, se tortille, et enfin me demande d'aller
aux toilettes. Pas question bien sur, il doit finir mon massage. Il ne
sait plus comment se mettre, et le voir transpirer à grosses gouttes
nous laisse supposer qu'il est au bord de l'explosion. Mon amie a l'idée
de le promener un peu dans l'appartement, ce qui l'achève carrément.
Et là, debout dans le salon, raide comme un piquet, il se met les
mains sur les yeux, honteux au dernier degré car se qui devait se
passer est en train de se passer. Nous nous moquons bien de lui,
autant de ce qu'il vient de faire, que de voir son attitude. Je le fait
filer d'abord aux wc, puis il doit se laver dans la salle de bain; nous
assistons au demeurant à ses ablutions, ce qui le gêne également.
Nous le punissons ensuite sévèrement pour ce quil a fait.
Et lorsque ses fesses sont bien rouges, et qu'il pense en avoir terminé,
je le fais asseoir sur une chaise, face à nous, jambes écartées.
Je lui ordonne de se masturber. Le tout en nous regardant dans les yeux.
Là, c'est trop pour lui, nos regards braqués sur lui le fond
presque fondre en larmes. Il ne peut pas nous dit-il, pitié, Maîtresses,
il ne peut pas bander, il ne peut pas jouir, c'est trop humiliant pour
lui. Alors, mon amie et moi commençons les enchères. Si il
ne peut pas, ce sera 10 coups de cravaches x par deux maîtresses,
cette idée le décide à commencer à se masturber.
Nous continuons à 15 coups car il ne se donne pas vraiment de la
peine, et s'arrête sans cesse pour se plaindre et demander pitié.
Puis 20 coups, et là nous rions toutes les deux car soudain il est
plus actif. Il jouira quand même, mort de honte, rouge comme un coquelicot,
sous nos sourires narquois. Je dois avouer que j'ai hésité
une seconde à lui refaire un lavement avant qu'il ne parte, (avec
bien sur), mais bon, point trop n'en faut. |