du
Pays de Galle
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J’ai déjà
expliqué les bonnes surprise que j’ai pu avoir en recevant des soumis
venant de l’étranger. Celui-ci ne fait pas exception à la
règle. Il recherche le bondage, très serré afin de
ne pas pouvoir bouger du tout, porter une baillon afin de ne pas pouvoir
demander grâce, une cagoule afin de ne rien voir. Je l’accessoirise,
et lorsqu’il est immobilisé, je commence. Il aime la torture des
seins, la cire de bougie suer tout le corps, l’electricité que je
lui administre si il geint trop, la sodomie, et la torture du sexe. Il
m’a précisé que même si il lui arrivait de jouir, il
fallait continuer. Je prends donc un malin plaisir à alterner les
tortures du sexe avec des effleurements que je fais avec mes ongles.
Je monte torturer les seins, et je reviens en bas, je le sodomise progressivement
et je retourne en bas. Il se retrouve à ma merci, mon but étant
qu’il soit toujours sur le point de jouir, mais j’arrête au dernier
moment. Je ne veux pas qu’il puisse jouir rapidement, mais qu’au contraire
il soit au bord de la jouissance pendant les deux heures que nous passons
ensemble. C’est finalement plus difficile pour lui et plus drôle
pour moi. Je le change de pose selon ce que je fais, bondage sur le dos
pour avoir les seins disponibles, a quatre pattes pour la sodomie, mains
attachées sur le coté des pieds, reliées avec une
cordelette aux gros orteils, fesses bien l’air. Il essaie vainement d’atteindre
son sexe afin de se masturber, mais il arrive à peine à saisir
le bas de ses testicules. Frustrant au possible ! Je fais aussi en sorte
que chaque changement de pose soit crescendo. De plus en plus contraignant.
Il finira par jouir au moment où je l’ai décidé, mais
je continue quand même un peu les tortures car je sais que c’est
beaucoup plus dur à supporter après. Voilà un excellent
soumis, que j’aurais plaisir à revoir lors de son prochain voyage
à Paris. |