du
hard mais pas de traces!
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C'est
toujours son souci, il aime les pratiques hard, mais il ne peut avoir de
traces (re-bobonne), et de surcroît, il a la peau fragile, qui marque
vite!! Le bouquet! Il faut donc trouver des astuces afin de palier ce double
problème. Je m'attaque donc à des zones réceptives,
qui peuvent être travaillées longtemps sans traces. Les seins
par exemple, sur lesquels je met des pinces agrémentées de
poids. Puis le sexe et les testicules. Je serre le tout dans un bondage
bien serré et contraignant, et je relie la corde au palan. Le soumis
étant à quatre pattes, la corde lui passe au milieu des fesses,
et je remonte le tout au maximum. Ainsi, il a le sexe et le reste bien
remonté en arrière, la corde étant encore resserrée
par la tension, et de ce fait, le simple fait de passer les ongles sur
la peau des testicules produit un effet démultiplié. Ensuite,
l'anus: c'est un endroit sensible, et profitant de la position de mon soumis,
jambes écartées, je le pique avec de petits instruments,
le frotte avec le gant de crin, et le gant d'inquisition, jusqu'à
ce que l'endroit devienne bien irrité, et là je vaporise
de l'alcool. Aussitôt, je serre ses fesses avec mes mains afin de
bien garder l'effet de l'alcool. La brulure est forte, mais elle ne laissera
pas de trace, de plus, il est rare que bobonne (encore elle) examine à
la loupe l'anus de son mari pour voir si il est ou non enflammé.
Ensuite, je peux avoir recours aux aiguilles. Si elles sont correctement
placées, elles ne laisseront aucune trace, sauf un minuscule point
rouge, et encore, pas toujours. Toujours profitant de la position, je lui
donne de la cravache et de la badine sur la plante des pieds. C'est terriblement
douloureux, mais là encore, point de trace. Preuve que l'on peut
pratiquer du hard, avec un peu de ruse et de savoir-faire, sans que le
soumis ressorte du donjon rouge ou bleu!! |