dilatation
anale
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Je connais
JL depuis déjà un bon moment, et il m'annonce aujourd'hui
qu'il doit déménager à l'étranger pour quleques
temps. Aussi, il désire une bonne dilatation, car il ne pourra revenir
me voir pas avant deux ou trois mois. Avec lui, il n'y a pas trop de problème
pour arriver au fist, aussi je le prépare comme d'ordinaire. Introduction
successive de godes de plus en plus gros, vibrants ou non, afin qu'il se
détende bien en attendant l'arrivée de ma main. Les godes
étant entrés sans problème, j'enfile donc un gant
latex, que je lubrifie allègrement, et hop. Mais hasard, aujourd'hui,
ça ne veut pas... La moitié de la main entrée, impossible
d'aller plus loin. Je le fais donc se relever du fauteuil gynéco,
pour le faire asseoir sur un tabouret garni d'un gode 'building". Ce gode
a des étages qui vont en s'élargissant, de ce fait en s'asseyant
le soumis se dilate tout seul. JL se rentre deux étages dans l'anus,
et retourne sur le fauteuil. Je reprend mon fist, mais rien à faire.
Je ne peux entrer que la moitié de ma main. JL essaie de s"écarter
les fesses, de pousser, de me tirer le poignet, aujourd'hui, il n'y aura
pas de fist. Comme un fait exprès juste pour son départ.
Je ne suis pas très contente après lui, alors je l'emmène
dans la baignoire, et me venge sur ses seins. Il se jouit dessus, et pendant
un moment, je me tâte de le punir en lui interdisant de se laver.
Comme quoi, même en étant un coutumier du fait, le corps humain
n'est pas une machine et peut avoir ses humeurs. Il suffit parfois de peu
de chose pour ne pas être assez décontracté, et là,
à part y aller au marteau et au burin, la porte ne s'ouvre pas! |