chatouilles
encore
-
Je me
suis déjà étonnée ici du manque de réaction
de certains soumis qui recherchent les chatouilles. Ils ne réagissent
pas vraiment, bien qu’appréciant la pratique. Ce n’est pas très
amusant pour moi, un peu comme si vous chatouillez un mur. Mais cette fois,
enfin, un chatouillé démonstratif !! Il est venu spécialement
de Génève, me relatant ses expériences ratées,
car au bout de 20 minutes, les dominatrices le font jouir et terminé.
Ce genre de mésaventures m’amuse toujours, et je me mets de ce fait
un point d’honneur à démontrer qu’il est aisé de procéder
autrement. Je l’attache au palan, pieds dans un carcan très écarté,
et le met en extension le plus possible. Ainsi, j’ai accès à
pleins d’endroits, et lui ne peut rien faire pour éviter mes ongles.
Je commence par les côtés, classiquement, et de suite il se
trémousse, essayant de se dégager. Peine perdue, et je continue
sur le bas du ventre, puis l’intérieur des cuisses et l’arrière
des genoux. Je reprends ensuite du creux du coude, puis sous les bras,
et redescente le long du corps. Je lui attache les testicules très
serrées, la peau est ainsi plus réceptive au moindre effleurement.
Ce fais et refais ce parcours pendant une demi-heure, et décide
ensuite de le changer de pose. Il commence déjà à
montrer des signes de faiblesse, à force de rire il est essouflé.
Je lui installe un carcan bras et tête, les pieds sur la barre et
hop il se retrouve les jambes en l’air, et donc….. la plante des pieds
en l’air aussi. Il est aussi très sensible de cette partie de son
anatomie, et me demande à plusieurs reprises pitié pour les
pieds. Hors de question de céder à sa demande ; et je reprends
les chatouilles du corps, en finissant par les pieds. Je les prends solidement
d’une main en écartant les doigts, et ainsi, je peux aller bien
entre chaque doigt, ce qui le rend hystérique. Moi aussi je ris
beaucoup, de le voir ainsi impuissant, demandant pitié, et riant
en même temps. Il me supplie à plusieurs reprises de jouir,
mais je lui fais remarquer qu’il faut tenir encore, et encore. Au bout
d’une heure, je lui délie une main, et il se masturbe pendant que
moi, imperturbablement , je continue à le chatouiller partout. Je
n’arrête que lorsque qu’il a jouit, il est alors très fatigué.
Au moins, il sait ce que représente une vraie séance de chatouilles,
qui devient finalement petit à petit une vraie séance de
torture ultralight. |