Asphyxie
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Certains
soumis mettent longtemps avant de passer à l’acte. Ainsi, celui-ci
est attiré par une pratique particulière depuis ses 18 ans,
mais il s’est passé de longues années avant qu’il ne réalise
pleinement son fantasme. Et encore, il y a du chemin à faire. Sa
recherche va vers une femme belle, qui va l’immobiliser complètement,
et ensuite l’étrangler entre ses jambes, puis ses bras, mais surtout
les jambes pour lesquelles il a un vrai sentiment de fétichisme,
puis les mains, et ensuite face-sitting (le vrai pas le faux dont je vous
ai déjà parlé). Lors de notre première séance,
j’y suis allé progressivement. En effet, lorsque l’on ne connaît
pas le soumis, on ne sait pas quelles sont ses réactions, sa résistance
etc.. Or, cette pratique doit être faite avec beaucoup de précaution,
et pour cause ! La seconde fois, j’ai pu insister un peu plus, m’amusant
à laisser les yeux apparents, essayant de voir une lueur d’effroi
y poindre. Je l’ai attaché beaucoup plus fermement, il ne pouvait
donc rien faire pour échapper à mon étreinte. J’ai
mis mes cuisses autour de son cou, après avoir enfilé un
collant noir, accessoires qu’il apprécie. Très progressivement,
tel un serpent, j’ai serré sans qu’il puisse se libérer,
relachant un peu parfois afin d’entretenir le suspens. Il faisait parfois
de petits soubresauts, vains efforts pour aspirer un peu d’air. Ensuite,
mes mais, une sur la bouche, bien hermétique, lui serrant le nez
avec l’autre. Une sorte de supplice chinois en fait. A la fin, je me place
sur son visage, il est ainsi bien étouffé sur mes fesses,
il essaie de remuer la tête pour respirer, mais se rend compte que
tout dépend de ma volonté : je me soulève pour qu’il
inspire une bouffée d’air ou pas. Et ainsi de suite jusqu’à
la fin. Et là je tiens à dire, ATTENTION : cette pratique
n’est pas anodine, elle doit se faire avec une personne de confiance, consciente
de ce qu’elle fait, et de la limite de son soumis. Jouer oui, mais toujours
avec les précautions qui s’imposent. |